Paris, décembre 2012
mercredi 30 janvier 2013
Grand boulevard
Paris, décembre 2012
Un nouvel outil : partie 2, sur le terrain
Je vous présentais récemment avec enthousiasme mon nouvel outil, le Voightländer Color Skopar 20 mm SL2n - f3.5. Voici la suite de mes impressions, sur le terrain cette fois.
Monté sur le Nikon D300s, il est très discret et, avec son pare-soleil, il a fière allure !
Dès les premières prises de vue, les impressions initiales sont confirmées. Fluidité, douceur, absence totale de jeu des bagues : un vrai plaisir !
La mise au point est douce et précise. La résistance de la rotation de la bague est juste assez ferme pour assurer la précision nécessaire. Seul regret (je chipote), le clac produit en bout de course est un peu sec.
L'échelle de profondeur de champ, bien repérée et visible, permet de se caler à l'hyperfocal à f8 ou f11. Cela autorise de déclencher à la volée, en toute discrétion, sans le risque d'un autofocus qui patine. Voir "Les mouettes" ci-dessus. Idéal pour la photo de rue et le reportage.
Quant à l'angle de champ, correspondant à celui d'un 30 mm en format APS-C, il est pour ainsi dire parfait, à mi-chemin entre le 28 mm et le 35 mm, focales du reportage par excellence. Associé au 50 mm, tout aussi petit et discret, et qui le complète bien pour les plans rapprochés et les portraits (voir ci-dessous), le Voightländer Color Skopar 20 mm est très pratique pour se déplacer léger et disposer d'une optique qui transforme votre réflexe en bloc-note photo très agréable.
Un nouvel outil : partie 2, sur le terrain
Je vous présentais récemment avec enthousiasme mon nouvel outil, le Voightländer Color Skopar 20 mm SL2n - f3.5. Voici la suite de mes impressions, sur le terrain cette fois.
Monté sur le Nikon D300s, il est très discret et, avec son pare-soleil, il a fière allure !
Dès les premières prises de vue, les impressions initiales sont confirmées. Fluidité, douceur, absence totale de jeu des bagues : un vrai plaisir !
La mise au point est douce et précise. La résistance de la rotation de la bague est juste assez ferme pour assurer la précision nécessaire. Seul regret (je chipote), le clac produit en bout de course est un peu sec.
L'échelle de profondeur de champ, bien repérée et visible, permet de se caler à l'hyperfocal à f8 ou f11. Cela autorise de déclencher à la volée, en toute discrétion, sans le risque d'un autofocus qui patine. Voir "Les mouettes" ci-dessus. Idéal pour la photo de rue et le reportage.
Quant à l'angle de champ, correspondant à celui d'un 30 mm en format APS-C, il est pour ainsi dire parfait, à mi-chemin entre le 28 mm et le 35 mm, focales du reportage par excellence. Associé au 50 mm, tout aussi petit et discret, et qui le complète bien pour les plans rapprochés et les portraits (voir ci-dessous), le Voightländer Color Skopar 20 mm est très pratique pour se déplacer léger et disposer d'une optique qui transforme votre réflexe en bloc-note photo très agréable.
Conférence au sommet
samedi 5 janvier 2013
mercredi 2 janvier 2013
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